Notre combat n'est pas romantique...

Publié le par actionfrancaise

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Le royalisme capable de vaincre, de tirer son épingle du jeu de la crise de demain, ne peut-être autre que le royalisme de combat, celui du chouan cramponné à son bocage, faux à la main, celui de Cadoudal, deux pistolets sous le manteau, de Berryer défendant les Canuts, des Camelots du Roi, usant de la dialectique et de la canne plombée. Nous avons besoin d’âmes trempées dans l’eau de la Foi et de la lutte, et non des “cornichons sans sève élevés dans des petits pots à l’abri des courants d’air” que détestait Bernanos.

 

Imprégnons-nous de Stendhal et de Nimier, de Daudet et de Barbey, et laissons en chemin les lecteurs de Points de vue et Choc. Notre combat n’est pas romantique. Il est classique, héroïque, réaliste. Maurras devait le dire un jour à Henri Vaugeois : “Nous devons être intellectuels et violents”.

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